Découvrez l’interview d’Hélène, en coloc’ avec Majdi depuis 5 mois

Hélène et son mari, hôtes chez Camarage, cohabitent avec Majdi dans leur maison de Sucy-en-Brie. Retour d’expérience d’un trio gagnant !

  • Bonjour Hélène, merci de témoigner ! Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? 

Je vis avec mon mari dans un pavillon à Sucy-en-Brie. Mon mari était sociologue et historien et nous sommes à la retraite depuis 19 ans. Nous sommes toujours très actifs car nous avons une passion commune et faisons une recherche socio-historique sur nos 2 communes natales, Nantes et Sucy-en-Brie. Nous avons 4 grands enfants et des petits-enfants, qui nous rendent visite régulièrement ! 

  • Votre quotidien a-t-il changé depuis l’installation de Majdi ?

Notre quotidien a forcément un peu changé parce que nous faisons attention à bien nous respecter les uns les autres et à ne pas nous gêner. Majdi est assez timide et réservée donc nous veillons à respecter son espace. Avec mon mari, nous sommes très autonomes et n’avons pas besoin de services au quotidien. Nous laissons aussi Majdi recevoir des invités quand elle veut. Comme nous sommes assez occupés, cela ne nous pose aucun problème.

Qu’est-ce qui vous a convaincu de tenter l’expérience ?

 J’ai un frère qui avait une maison avec un très grand jardin. A un moment, il avait le projet de la remettre à neuf pour construire un espace intergénérationnel, occupé par des personnes âgées au rez-de-chaussé et par des étudiants à l’étage. On avait trouvé ça assez génial avec mon mari. Je pense que l’idée du logement entre générations était déjà un peu en nous quelque part. Et puis nous avons toujours été un couple très ouvert. L’été, nous faisions souvent des échanges de logement avec d’autres personnes. Cela nous a permis de voyager un peu partout en France !

  • Quel est le petit plus de cette expérience ?

Le complément de revenu mais aussi le simple fait de pouvoir aider. Nos enfants sont partis et nous avons une grande maison. On peut facilement accueillir des jeunes qui en ont besoin !

  • La plus grande qualité de votre cohabitant ?

Sa gentillesse et sa discrétion !

Découvrez l’interview d’Arnaud, en coloc’ avec Cyprien depuis 8 mois

Direction le sud pour rencontrer Arnaud, grand fan d’échec, qui a décidé de se lancer dans la cohabitation intergénérationnelle il y a quelques mois.

  • Bonjour Arnaud, merci de témoigner ! Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? 

Je suis juriste de formation mais je suis partie à la retraite il y a quelques mois. J’habite à Aix depuis toujours. C’est une ville vraiment agréable, les gens ne sont pas stressés. Je joue beaucoup aux échecs et je participe parfois à des tournois organisés dans  mon quartier. Comme j’habite seul, je me suis dit que ce pouvait être sympathique d’accueillir un jeune et d’avoir un peu de compagnie. 

  • Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur les moments que vous partagez avec Cyprien ?   

Cyprien est en alternance. En général, il arrive le dimanche soir et il reste jusqu’au mercredi. On se fait souvent un resto le lundi soir car on a tous les deux le goût des bonnes choses !

  • Votre quotidien a-t-il changé depuis l’arrivée de Cyprien ? 

Pas spécialement. Mon quotidien et mes habitudes restent les mêmes. Mais ça fait quand même une vraie présence, je suis moins seul. On mange très souvent ensemble, ça crée une bonne ambiance ! 

  • Qu’est-ce qui vous a convaincu de tenter l’expérience ? 

Mon bailleur social m’a envoyé un courrier sur le sujet. J’ai très vite voulu tenter l’expérience et je me suis dit que ça ne coûtait pas grand chose d’essayer.

Découvrez l’interview de Romuald, en coloc’ avec Maryse depuis 6 mois

Lorsqu’il arrive à Toulouse pour un stage, Romuald ne sait pas trop par où commencer pour trouver un logement. Par hasard, il découvre la cohabitation entre générations… Aujourd’hui il vit avec Maryse, son mari et leurs deux filles depuis 6 mois. Retour sur ses impressions !

  • Salut Romuald, merci de témoigner ! Est-ce que tu peux te présenter en quelques mots à la communauté ? 

J’ai 24 ans et je viens de Nantes. Je suis arrivé à Toulouse il y a tout juste 6 mois pour un stage. Je suis intérimaire à la Poste et je vais faire une formation pour devenir ambulancier en septembre. Je suis passionné de foot et j’aime les sorties entre amis !

  • Peux-tu nous en dire un peu plus sur les moments que tu partages avec Maryse ? 

Tous les dimanches après-midi, on se retrouve avec Maryse et sa famille autour d’un thé. Ce sont des moments agréables, où chacun partage un peu ses aventures de la semaine. L’autre jour, mes parents sont venus de Nantes pour me visiter donc ils se sont joints à nous pour prendre le thé, c’était vraiment sympa de faire rencontrer tout le monde !

  • Pourquoi est-ce que tu as choisi la cohabitation entre générations ? 

Je ne connaissais pas Toulouse et je n’avais pas envie de prendre un studio tout seul. Je me suis dit que toute nouvelle expérience est bonne à prendre et j’ai décidé de tenter la colloc’ entre générations. Les prix étaient très attractifs aussi, ce qui ne gâche rien !

  • La plus grande qualité de ton cohabitant ? 

Maryse est super à l’écoute et très compréhensive. Elle me laisse vraiment mon espace. Je fais ma vie mais dès que l’on veut se voir, on s’organise un repas. C’est un bon équilibre. 

  • Un mot à ajouter ? 

Mon expérience est vraiment positive, il faut le dire aussi quand ça se passe bien ! C’est un concept intéressant, je recommande de tenter !

Découvrez l’interview de Nicolas-Claude, en coloc’ avec Mickael depuis 6 mois

Désireux d’aider un jeune, Nicolas-Claude a décidé il y a quelques mois de tenter l’expérience de la cohabitation entre générations. Il accueille actuellement Mickael, 21 ans, dans son logement à Saint-Denis. Convaincu ?

  • Bonjour Nicolas-Claude, merci de témoigner ! Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? 

Je suis originaire de Guadeloupe, de Pointe-à-Pitre dans les Antilles ! J’ai fait ma carrière en métropole mais je retourne souvent en Guadeloupe, surtout pour les vacances. Ici je suis professionnel de santé et conseiller pédagogique auprès d’enfants en difficulté. La cuisine est vraiment ma passion, ce qui m’a poussé à m’investir dans une cuisine collective, un centre qui apprend à des personnes en situation de précarité à cuisiner. J’ai 60 ans donc c’est une belle opportunité de terminer ma carrière au calme et d’aider ceux qui en ont besoin. 

  • Votre quotidien a-t-il changé depuis l’installation de Mickael ?

Absolument pas ! Nous avons discuté avec lui dès les premiers jours et j’ai mis les choses au clair. Je lui ai parlé de mes habitudes et je lui ai expliqué comment je souhaitais que se déroule la cohabitation. On est très indépendant. Parfois, ça nous arrive de partager des repas, mais sinon chacun fait sa vie. 

  • Qu’est-ce qui vous a décidé à vous lancer dans la cohabitation ? 

J’ai grandi dans une famille très nombreuse et parfois ce n’était pas toujours facile pour mes parents. Beaucoup de gens nous ont tendus la main à l’époque et aujourd’hui avec mes frères et sœurs, c’est à nous d’aider aussi. Si on peut filer un coup de main, pourquoi ne pas le faire ? 

  • Vous recommanderiez cette expérience ?

Oui, clairement. Il y a trop de personnes seules. Et quand on commence sa retraite, c’est un bon moyen d’arrondir ses fins de mois. 

  • Quel conseil donneriez-vous à ceux qui hésitent à sauter le pas ?

On peut toujours essayer et si ça ne marche pas, il y a un préavis d’un mois. L’engagement n’est pas trop lourd. Même s’il y a un contrat, on peut essayer et arrêter si ça ne convient pas, ce qui est vraiment rassurant. Et puis c’est assez convivial d’accueillir un jeune. Quand Mickael est là, c’est comme la famille. C’est une présence agréable. Moralement, ça aide beaucoup. C’est un partage : on tend la main à un jeune et le jeune nous la tend aussi. 

  • Une anecdote à nous raconter ? 

Parfois il rentre tard donc je lui laisse une assiette avec un petit mot pour qu’il mange. Il ne me demande rien mais je lui dis de profiter. Lui aussi me fait des petites surprises et me ramène des gâteaux de temps en temps. L’autre jour il avait acheté une tarte citron meringuée, j’en avais rarement goûté de si bonnes !

Découvrez l’interview d’Élisabeth, en coloc’ avec Deborah depuis 7 mois

Élisabeth, hôte chez Camarage, cohabite avec Deborah dans sa maison de la banlieue parisienne. Premières impressions, moments de partage, quotidien… Élisabeth revient pour nous sur son expérience de cohabitation !

  • Bonjour Elisabeth, merci de témoigner ! Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? 

Je suis architecte à la retraite. Je m’occupe en suivant une formation en Histoire de l’Art et j’aime beaucoup la musique, les randonnées et voyager. Je suis très autonome et j’habite dans une grande maison pour moi toute seule. Bondy est ma ville d’enfance et j’habite dans la maison de mes parents, qui étaient aussi celles de mes grands-parents et arrières-grands-parents. Je suis revenue m’y installer il y a 2 ans. Je trouvais qu’elle était idéale pour accueillir des étudiantes donc j’ai décidé de me lancer ! 

  • Votre quotidien a-t-il changé depuis l’installation du jeune ?

Je dirais que c’est plus vivant ! Je discute tous les jours avec Déborah et nous dînons ensemble assez souvent. On parle beaucoup de nos émotions. Déborah se charge aussi de promener mes petites chiennes de temps en temps, ce qui est pratique car cela me permet de passer la journée loin de la maison. 

  • Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur les moments que vous partagez avec Deborah ?  

On partage beaucoup de repas ensemble, et parfois mes amis et ma famille se joignent à nous. Pour l’instant on ne profite pas trop du jardin à cause de l’hiver mais avec les beaux jours qui reviennent, j’espère qu’on pourra profiter de la terrasse et développer le potager ! 

  • Qu’est ce qui vous a décidé à vous lancer dans la cohabitation entre générations ?

J’ai toujours aimé accompagner les jeunes. Ma maison était grande et je me suis dit qu’un peu de compagnie ne ferait pas de mal. L’apport financier aussi était non négligeable. 

  • Quels sont selon vous les critères essentiels pour une cohabitation qui roule ?

La  bonne entente, la franchise et le fait de pouvoir compter l’une sur l’autre ! 

  • La plus grande qualité de votre cohabitant ? 

Deborah est très sociable et c’est une jeune fille pleine de gentillesse ! 

Découvrez l’interview croisé d’Irène et Mario, en cohabitation à Strasbourg

Camarage s’est entretenu avec Irène, 64 ans, et Mario, 21 ans, en cohabitation à Strasbourg depuis septembre 2022. Rencontre avec le duo !

  • Bonjour Irène et Mario, merci d’avoir accepté de témoigner ! Pourriez-vous vous présenter à la communauté en quelques mots ?  

Irène : J’ai 64 ans et je suis tout juste à la retraite. J’habite dans un quartier de Strasbourg vraiment animé, il y a pleins de commerces et mes voisins sont vraiment sympas. J’ai aussi un petit chat qui s’appelle Câline ! 

Mario : Je m’appelle Mario et je suis colombien. J’ai 21 ans et j’étudie les sciences à l’université de Strasbourg. 

  • Pourquoi s’être lancé dans la cohabitation entre générations ? 

Irène : Ça faisait longtemps que je pensais accueillir des étudiants. C’est tellement difficile pour les jeunes de se loger, ça me fait de la peine ! C’est la crise du Covid qui m’a vraiment décidé. Je me suis dit que quand on pouvait aider, c’était bien de donner un coup de main, alors je me suis lancé. 

Mario : J’étais un peu perdu dans ma recherche de logement et je n’avais pas envie d’habiter seul à mon arrivée à Strasbourg. Quand j’ai rencontré Irène, je n’ai pas hésité une seconde ! 

  • Petite question pour vous, Irène : est-ce que votre quotidien a changé depuis l’installation de Mario ? 

Non pas vraiment. Je continue à faire ma vie et lui est très indépendant aussi. La seule chose qui change c’est que nous partageons parfois des repas ! 

  • Quel est le plus de cette cohabitation au quotidien ? 

Irène : C’est vraiment sympa d’avoir une présence. On apprend beaucoup l’un de l’autre. Au début, je ne savais pas trop comment ça allait se passer car ce n’est pas évident de vivre avec quelqu’un qu’on ne connaît pas. Finalement on prend vite des habitudes, et si ça ne va pas, on en parle librement. 

Mario : Irène est vraiment de bons conseils. J’aime beaucoup avoir son avis. On peut parler de tout, il n’y a pas de tabous. 

  • Une anecdote à nous partager ? 

Irène : Un jour j’ai entendu du bruit dans la cuisine, je me suis demandé d’où ça venait. J’ai d’abord pensé à un voleur. En fait c’était simplement Mario qui jouait avec Câline, mon petit chat ! J’ai beaucoup ri, c’était une bonne surprise ! 


Mario :  Ma famille n’est pas en France et je n’ai pas pu rentrer pour les vacances de Noël. Irène m’a tout de suite proposé de passer les fêtes avec elle et sa famille. J’étais très touché et j’ai passé un super moment ! J’ai découvert toutes les traditions françaises, j’ai mangé beaucoup de fromages différents et j’ai goûté pour la première fois les escargots !

Découvrez l’interview croisé d’Edith et Carla, en cohabitation à Paris

Camarage a organisé un entretien avec Edith, 63 ans, et Carla, 21 ans, en cohabitation dans le 17ème arrondissement de la capitale, depuis novembre 2022. Retour sur leurs expérience intergé !

  • Bonjour Edith et Carla, merci d’avoir accepté de témoigner ! Pourriez-vous vous présenter à la communauté en quelques mots ?  

Edith : Je m’appelle Edith, j’ai eu 63 ans le mois dernier. Je suis trésorière de profession, mais j’ai pris ma retraite l’année dernière. J’habite depuis 18 ans dans cet appartement, j’y suis très attachée. Le quartier a beaucoup changé depuis que je me suis installée, les choses changent vraiment rapidement. 

Carla : Moi c’est Carla, j’ai 21 ans. J’ai grandi près de Brest, en Bretagne. J’ai bougé à Paris pour mes études. Je suis à La Sorbonne en double licence Droit-Economie. 

  • Pourquoi s’être lancé dans la cohabitation entre générations ? 

Edith : Je cherchais un peu de compagnie et un peu d’aide pour certaines choses du quotidien, notamment avec le numérique. Donc c’est vrai que j’ai été assez vite convaincue par le projet. C’est quand même très pratique de pouvoir demander un coup de main de temps en temps ! Et puis, c’est agréable de vivre avec une jeune quand le tout est un peu cadré. Le fait qu’il y ait un contrat, ça rassure beaucoup. Ça permet de mettre tout au clair et d’éviter les problèmes. 

Carla : J’aime beaucoup les ambiances un peu familiales et je ne voulais pas vivre seule. J’avais pensé me mettre en coloc’ avec des jeunes de mon âge mais je pense que ça aurait pu ne pas bien se passer, surtout au niveau du ménage. Je me suis dit qu’en vivant avec une personne âgée, non seulement je n’aurais pas le souci de la propreté mais en plus je retrouverais une ambiance assez chaleureuse. 

  • Quel est le plus de cette cohabitation au quotidien ? 

Edith : Elle me montre comment me servir de mon ordinateur et de mon portable. L’autre jour, elle m’a appris à télécharger une application et à numériser des documents. C’est vraiment satisfaisant parce que je sens que petit à petit, je deviens autonome. Ces moments-là sont aussi l’occasion de parler un peu de la vie, de nos émotions ou de se raconter notre journée. Heureusement, on n’échange pas que sur le numérique ! 

Carla : Je me sens vraiment bien entourée, ce qui est essentiel. Je suis étrangère et ma famille n’est pas en France. Edith c’est un peu comme une maman ici pour moi, je me sens vraiment en confiance avec elle ! 

  • Vous recommanderiez cette expérience ? 

Edith : Absolument ! J’aime beaucoup vivre avec quelqu’un d’autre, le contact humain est tellement important ! C’est une vraie richesse de pouvoir vivre ça. 

Carla : Oui complètement. C’est vraiment agréable de ne pas se sentir seule. Je sais qu’il y a quelqu’un quand je rentre, et je trouve que ça fait vraiment la différence. 

  • Pourquoi être passé par Camarage ?

Edith : C’était un peu le hasard, mais un heureux hasard alors ! J’ai vu une affiche à la Mairie du 17e, et j’ai appelé le numéro indiqué pour avoir plus d’informations. J’ai apprécié le sérieux de votre accompagnement et des jeunes qui m’ont été présentés.  Quand on décide de louer une chambre, c’est quand même important que la personne soit de confiance. Passer par vous m’a éviter de chercher des gens par moi-même. 

Carla : Je cherchais un peu partout un logement et puis je suis tombée sur Camarage sur Facebook. Votre équipe m’a vraiment mise en confiance et j’ai apprécié le fait que vous fassiez un vrai suivi. Vous êtes là au cas où, ce qui est important. 

Découvrez l’interview de Sonia, en coloc’ avec Elisabetta depuis 5 mois

Sonia, 21 ans, nous partage son expérience de cohabitation entre générations avec Camarage. Depuis septembre, elle vit à Nice chez Elisabetta. Rencontre dans le Sud ! 

  • Bonjour Sonia, merci d’avoir accepté de témoigner ! Pourquoi avoir voulu tenter la cohabitation entre générations ? 

J’ai toujours vécu chez mes parents, dont je suis très proche. Quand j’ai décidé de bouger à Nice, c’était un peu un choc pour eux et ils étaient inquiets. Quand je leur ai dit que j’allais faire une cohabitation intergénérationnelle, ça les a beaucoup apaisés. C’était rassurant pour eux de savoir que je m’installais chez quelqu’un de confiance, qui pouvait prendre un peu soin de moi au cas où, et me montrer un peu la ville, que je ne connaissais pas. 

  • Quel est le petit plus de cette cohabitation au quotidien ? 

On rigole bien ! Ça me fait plaisir de la voir quand je rentre, on se raconte nos journées et nos potins. La savoir là me rassure beaucoup en fait, parce que je n’aime pas être trop seule au quotidien. Elisabetta m’a aussi montré ses bons plans à Nice, ce qui est super chouette. 

  • Tu recommanderais cette expérience ? 

Carrément ! Je l’ai déjà recommandé à plusieurs personnes ; c’est vraiment un bon plan. Ça permet de ne pas être perdu quand on arrive dans une nouvelle ville par exemple. Les loyers sont vraiment abordables, et avec les APLs en plus, c’est génial ! Ma relation avec Elisabetta est super équilibrée, on a toutes les deux notre espace, et en même temps, on partage de supers moments ! 

  • Qu’est-ce que tu penses de l’accompagnement Camarage ?

Pas grand chose à redire ! Vous instaurez vraiment un climat de confiance, ce qui est agréable. Vous appelez souvent, ce qui permet de se rappeler qu’il y a un cadre et qu’au cas où, on peut vous joindre. 

  • Que dirais-tu à des jeunes qui hésitent encore à sauter le pas ?

Je leur dirais qu’il faut vraiment vivre l’expérience au moins une fois. C’est un mode de vie qui permet de grandir. Ça apprend l’écoute et le respect. Humainement, c’est vraiment intéressant. Et puis aussi, ça permet d’accéder à un super logement à prix vraiment cassé.

Découvrez l’interview de Béatrice, en coloc’ avec Sophie depuis 3 mois

Béatrice, 64 ans, cohabite avec Sophie, 22 ans, dans son appartement du nord parisien. Elle nous partage ses premières impressions. Pari réussi ?

  • Bonjour Béatrice, merci d’accepter de témoigner ! Comment se déroule le début de cette cohabitation ?

Honnêtement très bien, c’est assez facile. Sophie suit une formation en étude cinématographique. L’autre jour je l’ai aidée à rédiger un scénario sur lequel elle travaillait. Et j’ai pu montrer un de ses courts-métrages à mes amis du quartier.  Nous aimons beaucoup discuter de tout et de rien, mais surtout d’amour ! 

  • Quel est le petit plus de cette cohabitation au quotidien ?

Sophie est d’une grande aide pour le rangement et l’entretien de notre espace commun. Elle est très souriante aussi, un vrai rayon de soleil !

  • Qu’est-ce qui vous a convaincu à tenter l’expérience de cohabitation entre générations ?

J’avais besoin de mettre un peu de beurre dans les épinards. J’avais une chambre de disponible, donc ça tombait à pic. Au début, je craignais un peu que ça ne perturbe trop mon quotidien. Mais tout s’est mis en place assez naturellement. Quand Sophie est arrivée, on a vite parlé de nos petites habitudes et de nos besoins. Cela nous a permis de trouver notre équilibre et de conserver aussi notre part d’indépendance. 

  • Des conseils à donner à ceux qui hésitent encore à sauter le pas ?

Hésiter c’est déjà être tenté ! Avoir un peu de compagnie à la maison, finalement c’est toujours un plus. Je suis assez bohème et très ouverte, donc l’idée m’a vite séduite. Mais je pense que ça fait toujours du bien de ne pas se sentir trop seul chez soi, et de partager des repas de temps à autre. J’apprécie beaucoup nos virées au café d’à côté et ses histoires un peu fantasques ! 

Découvrez l’interview croisé de Linda et Marie, en cohabitation à Grenoble

Camarage a organisé un entretien avec Linda, 63 ans, et Marie, 22 ans, en cohabitation à Grenoble depuis septembre 2022. Rencontre avec un duo de choc !

  • Bonjour Linda et Marie, merci de témoigner ! Pourquoi avoir voulu tenter la cohabitation entre générations ? 

Linda : Je vivais jusque-là avec ma fille de 22 ans, qui a le même âge que Marie. Quand ma fille est partie pour son école d’hôtellerie, je me suis retrouvée seule dans mon logement. Je n’avais pas envie de ça, je voulais quelqu’un avec qui parler. Du coup je me suis dit pourquoi pas ! 

Marie : Je suis très proche de mes grands-parents, donc quelque part je pense que j’ai toujours été sensibilisée à l’importance d’échanger avec des plus âgés. Mes grands-parents m’ont tellement apporté, que je me suis dit que je retrouverais sûrement quelque chose de cette relation en cohabitation “intergé”. Et puis aussi, c’était important pour moi de ne pas vivre seule. 

  • Quel est le petit plus de cette cohabitation au quotidien ?

Linda : Je dirais que c’est le sentiment d’être entourée. On discute tous les jours sur ce qu’on a fait dans la journée ou on se raconte ce qu’on a pu voir d’intéressant. Marie est vraiment très gentille. Elle n’est pas là le weekend car elle rentre dans sa famille et parfois ça me fait un peu drôle ! 

Marie : Linda est très attentionnée et du coup ça m’apporte beaucoup de bonne humeur ! C’est tellement agréable d’être attendue en rentrant le soir à la maison. Je sais qu’on va passer un super moment parce qu’on a beaucoup de points communs. Par exemple, on adore toutes les deux la télé-réalité ! On regarde souvent “Le Cross” ou “Les Marseillais” ensemble, je ne m’attendais pas du tout à ça !

  • Vous recommanderiez cette expérience ?

Linda : Oui tout à fait ! J’aurais aimé connaître ça avant et je pense continuer d’accueillir des jeunes après le départ de Marie. Quand je vois les prix des appartements pour les jeunes, je me dis que c’est bien de les aider quand on peut. Et en plus, ça fait une petite aide. Je prends bientôt ma retraite donc ce n’est pas négligeable.

Marie : Oui totalement parce qu’on irait pas spontanément vers les personnes âgées alors que c’est super enrichissant. On est sensibles à des sujets différents et c’est intéressant d’avoir d’autres points de vue. Il y a une belle complémentarité aussi : Linda n’est pas à l’aise avec la technologie mais elle est plus à l’aise avec ce qui est manuel, comme la couture par exemple, donc on peut s’entraider. 

  • Pourquoi être passé par Camarage ? 

Linda : J’ai vu une affiche dans mon immeuble et ça m’a tenté. Je suis dans une résidence de CDC Habitat, et je ne savais même pas que j’avais le droit d’accueillir un jeune ! Je me suis inscrite et puis tout est allé assez vite. Je ne m’attendais pas à ce que Camarage trouve une jeune aussi vite. J’ai apprécié toutes les personnes qui m’ont été présentées, mais c’est Marie qui  correspondait le plus à mes attentes. 

Marie : Au départ, j’avais juste vu l’annonce de la chambre en ligne. C’était un heureux hasard ! J’ai bien aimé la manière de procéder, très transparente. On est hyper libre, on a vraiment le choix jusqu’au bout et le contrat est flexible. J’ai aimé aussi le côté suivi, c’est rassurant d’avoir un intermédiaire neutre en cas de problème.

  • Quels conseils donneriez-vous à ceux qui hésitent encore à sauter le pas ? 

Linda : Soyez plus curieux ! Se renseigner sur votre site et voir que tout est bien cadré m’a beaucoup rassurée. Je parle du concept autour de moi, à mes voisins notamment. Je sais qu’il y a beaucoup de personnes seules et c’est vraiment une super solution. Ce n’est pas évident, les gens n’osent pas. Ce qui m’a poussée à faire ça c’est que j’ai une fille du même âge. Mais même sans ça, je pense que les gens devraient vraiment tenter le coup !

Marie : Il ne faut plus hésiter ! Ça apporte tellement de positif, et beaucoup de bonnes surprises. Évidemment il faut tomber sur la bonne personne mais l’expérience est vraiment à tenter !